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l'uaspetanque


Section Pétanque - Comité de l'Ariège



Une série de vidéo sport pétanque YouTube Boulistenaute
LES FEMININES  SAVERDUNOISES CHAMPIONNES DE L'ARIEGE


championnats départementaux des clubs (féminin)
Belle victoire de l'équipes saverdunoise en finale contre la pétanque haute léze
3 victoires en t.a.t
2 victoires en doublettes (score 14 a 2)
compositions de l'équipes

BEDEL marion ,GAMBIN chloé ,GAMBIN sylvie ,GONZALEZ nadine ,GUERBI marie , JOBREDEAU chantal ,MASSE Maryline (cap) ,VILLARD estelle ,VILLARD nadine.
 

LES FEMININES  SAVERDUNOISES CHAMPIONNES DE L'ARIEGE

Rédigé par G le Jeudi 26 Novembre 2015 à 22:21 | Commentaires (0)
 POINTEUR DE METIER "
 

" EN L'HONNEUR DES GRANDS POINTEURS "

 
 
" POINTEUR DE METIER "
 
« POINTEUR DE METIER »
Beaucoup de personnes m’ont demandé d’honorer le point après cette publication sur le tir qui a séduit beaucoup de Pétanqueurs. Je n’aime pas parler de moi, mais il est peut-être utile de vous rappeler ici mes débuts à la Pétanque. Quand j’ai commencé à jouer, je me suis assez vite rendu compte que je pouvais frapper des boules et les anciens disaient de moi : « Fred sera un tireur ».

Evidemment j’en étais fier !!
Mais j’étais très intrigué par la technique de point que possédaient quelques joueurs de mon département. Il y avait à cette époque cinq pointeurs qui sortaient du lot et je ne parlerai que d’un seul d’entre eux qui s’appelait Alfred Sailly.
Nous jouions à Amiens au Parc de la Hotoie. C’est à cet endroit que se déroule le National d’Amiens. Pour ceux qui connaissent le lieu, c’est un espace de jeu grandiose. Les jeux y sont d’une extrême difficulté et nécessite de posséder une précision millimétrée pour déposer sa boule.


Alfred se jouait de ces difficultés qui semblaient insurmontables à beaucoup d’autres.
Il réalisait des choses que personne d’autres ne réussissaient.
C’était un « maitre à pointer ». Je me postais près de lui et je l’admirais. Il était capable de trouver une pose à trois mètres du rond et de travailler sa boule pour qu’elle chemine jusqu’au bouchon placé à 9 mètres.

Son style favori était le jeu en demi donnée. Il arrondissait sa boule en lui donnant selon le cas un effet droite-gauche ou gauche-droite et sa boule se jouait des obstacles avec facilité.
Sa boule avalait les aspérités du terrain et trouvait son chemin pour accoster le bouchon. Il était infernal, prodigieux, exceptionnel et les qualificatifs me manquent pour parler de lui.


Aujourd’hui on ne voit plus de pointeurs de ce niveau. La Pétanque a évolué et  selon moi, pas dans le bonne direction. On nous invite trop souvent à jouer sur des terrains artificiels. Des jeux aux revêtements durs (souvent du goudron) sur lesquels on déverse une certaine épaisseur de cailloux rendant souvent la trajectoire des boules bien aléatoire. Il n’y a pas de vraies données pour assurer sa boule et les tireurs arrachent les boules en tirant en force, largement devant l’objectif. Le jeu se dénature. Il devient stéréotypé.


Comme me le disait récemment l’un de mes commentateurs, les joueurs se robotisent.
Le jeu perd en finesse, en subtilité. Ces coups magnifiques, comme la recherche d’un devant de boule ou le jeu du bouchon relèvent maintenant de la chance sur ce type de surface.
Ces tentatives étaient pourtant l’apanage des joueurs hyperdoués comme : « François Gouges » ou « Bébert de Cagnes ».


J’ai écris une fois : « Pourquoi voulez-vous que Georges Simoes, avec son style inimitable, s’applique à vouloir déposer sa boule dans la donnée pour se la voir arracher un mètre devant par l’un de ces bourrins du tir »

Mais revenons-en à cette denrée rare.

Ce joueur capable de maitriser les trois gestes : « roulette, demi-portée et portée », pouvant les exécuter debout ou assis tout en combinant les effets.
Imaginez donc la variété des coups possibles !! Il sait ce que veut dire assurer une boule !!


Son observation fine du terrain lui permet de conseiller ses partenaires.
Comme un géomètre, il lit le terrain. Il repère les dévers, les bosses et les pièges à éviter. Il sait évaluer la valeur d’un point.

C’est le joueur le plus à même de juger de la difficulté d’une reprise. Il est donc le mieux placé pour répondre à cette éternelle question : « Tu tires ou tu pointes ».
Si sa personnalité le lui permet, il pourra devenir ce pilier de la formation que toutes les grandes équipes recherchent : « Le meneur de bouchon ».
Voilà, chose promise, chose due !! J’espère que vous vous régalerez bien de cette nouvelle publication !! Ne vous privez pas de la commenter !!
Avec mes amitiés sportives, Frédéric.


Nachin le Mercredi 4 Novembre 2015 à 09:30 | Commentaires (0)

" Il faut beaucoup de conviction pour faire passer ce message "

 
 
LE POINT, LE POINT.......ENCORE LE POINT
 
 
LE POINT, LE POINT…….TOUJOURS LE POINT.
(Commentez !!!)
On n'insistera jamais assez sur l'importance du point à la pétanque.

A la pétanque c’est le point qui met la pression sur l’équipe adverse!!
C’est lui qui fait avancer les parties lorsque l'on rajoute des points en fin de mène, quand l'adversaire n'a plus de boules en main.
Ces fameux points dits " de rajoute " font parfois cruellement défaut en fin de partie.
Quand la mène est perdue et que l'on ne peut plus tirer pour détruire, il faut pouvoir placer astucieusement des boules afin de limiter la marque.Celles-ci obligeant souvent l'adversaire à tenter des tirs difficiles pour ouvrir le jeu.

Cependant quand vous entendez parler les Pétanqueurs, ils n'ont souvent à la bouche que le tir.

Aux yeux de certains la pratique du point serait moins noble que celle du tir.
Battons en brèche cette idée fausse !!!

Le point nécessite beaucoup plus de compétences techniques que le tir.
Il faut pouvoir  maitriser tous les types de lancers tout en combinant les différents effets.
Ce n’est pas une mince affaire que d'y parvenir!!

 
Il est vrai qu’un bon frappeur de boules peut compenser la défaillance de son pointeur sur quelques mènes, voir sur une partie. Mais on ne traversera jamais un concours avec une insuffisance durable au point de tête.

De nos jours, vous verrez que les jeunes joueurs préfèrent se monter en doublette avec deux tireurs ( pas toujours deux frappeurs).
A mon avis, ils ont une vision erronée du jeu de boules.

Ils parviendront rarement dans cette formation à vaincre  une doublette composée d’un solide pointeur de tête avec un bon frappeur de boules. 
Pour ceux qui ont vu Christian Fazzino évoluer avec Daniel Voisin, ils devraient s'en convaincre.


Certains prétendent que dans les jeux artificiels que l'on nous propose, son importance serait moindre.
C’est un peu vrai, mais dès que le port est suffisamment long, les moyennes de tir baissent et les carreaux sont moins nombreux. Alors, quand vous jouerez contre une triplette qui possède deux solides pointeurs, vous verrez que les choses vont se compliquer assez rapidement si vous ne défendez que des points médiocres.
 

Beaucoup de pratiquants ne voient que par leurs carreaux, ce qu'ils réalisent et ce dont ils rêvent.

J’ai envie de leur dire : « Compter déjà vos trous avant de me parler de vos carreaux » !
 

Je souhaite que cette publication donne matière à réfléchir à tous ces pratiquants qui pensent que le tir est l’arme absolue, à tous ceux qui renâclent à se perfectionner au point et qui trépignent d’impatience pour aller tirer dès qu'il voit une boule s'approcher du bouchon.

Lorsqu’on ne fait pas preuve d'une bonne moyenne au tir,  à quoi sert-on dans une équipe si par ailleurs on n'a pas une maitrise suffisante du point !!!
Voilà, sans doute, la morale de cette histoire!!!


RETROUVEZ-MOI DANS LE LIVRE : « PETANQUE, quand tu nous tiens ! », que vous trouverez  sur le  site. Avec mes amitiés sportives.
Frédéric.

 

Rédigé par G le Mardi 24 Novembre 2015 à 21:46 | Commentaires (0)
 OBJECTIVITE ET ILLUSION N°I "
 

" SE REMETTRE EN QUESTION "

 
 
" OBJECTIVITE ET ILLUSION N°I "
 
« OBJECTIVITÉ ET ILLUSION N°I »
PAR FREDERIC NACHIN  (A Commentez !!)

Cet article porte sur la perception que chacun d' entre nous a de ses capacités. C'est un sujet intéressant qui risque de froisser plus d'un « égo ». En effet, dans une majorité de cas, les pratiquants ont une vision faussée de leurs aptitudes. Les joueurs ont souvent une image d’eux très éloignée de la réalité. Ils se prêtent des qualités qu'ils n’ont pas et ce regard biaisé qu’ils ont de leurs capacités est un frein sérieux à leurs progressions.
 
La tendance la plus fréquente est de se voir beaucoup plus performant que l’on ne l’est en réalité. Il existe aussi des joueurs qui se sous estiment par manque de confiance. Cette perception qu’ils ont d’eux mêmes est souvent liée à leur histoire personnelle. Ce ressenti ne leur permet pas d’exploiter leurs qualités et souvent ils ne s’investissent pas assez dans leur discipline. (A quoi bon m’entrainer !! Pourquoi irais-je lui demander de jouer avec moi !!…….)
 
L’une des raisons de ce manque de réalisme est que beaucoup de joueurs évaluent leurs aptitudes au regard du jeu qu'ils produisent à l’entrainement.
C’est une erreur !!
Ils se fourvoient ainsi sur leurs capacités réelles et ont tendance à surjouer.  Pour faire la preuve d'une relative objectivité, la règle de base est de s'intéresser plus au nombre de ses « cagades », qu'à celui de ses coups réussis. Une majorité de joueurs ne gardent en mémoire que leurs bouchons et leurs carreaux et oublient un peu trop vite les phases de jeu où ils ont été absents.
 
Dans ces situations, ils vont chercher des justifications qui frisent souvent l’irrationnel. Cette attitude est si répandue chez le bouliste qu’elle prête à rire pour un fin connaisseur du jeu
 
Vous avez tous rencontrés un type qui vous a dit sans sourciller :
« Je n’ai fait que des arrêts et pourtant  nous avons perdus la partie »
J’ai tant de fois entendu cette ritournelle que je me permets parfois de lancer d’un air narquois:
« Tu aurais peut-être du en manquer quelque- unes, cela se serait mieux passé », et de rajouter malicieusement : 
« Ceux sont peut-être tes partenaires qui n’ont pas été à ton niveau !! »
Alors là, vous voyez les yeux du gars, ronds comme des billes s’illuminer !! Vous venez de le rassurer et de lui confirmer sa bonne prestation !!
Et vous vous dites : « Encore un qui n’a rien compris au jeu d’équipe !! »
Mais revenons à l’évaluation de son jeu. Dans l’objectif de développer ses performances, il est utile d’avoir une idée assez précise du nombre de boules que l’on a joué au cours d’une partie.
Plus encore, il faut se souvenir des moments ou l'on aurait pu donner l'avantage à ses coéquipiers en réussissant une frappe ou une reprise de point.
Il peut être difficile de le faire à la fin d'une compétition, mais il faudra se remémorer les phases de jeu décisives où l’on n’a pas rempli ses fonctions.
Il faudra notamment garder en mémoire les fins de parties (notamment les dernières mènes), qui témoignent de notre capacité à gérer la pression.
Avec mes amitiés sportives, Frédéric.


 
 
 
 
 
 
 
 
Rédigé par Frederic Nachin le Vendredi 9 Octobre 2015 à 14:28 | Commentaires (0)
 
" OBJECTIVITE ET ILLUSION - EPISODE N°2 "
 
L’AUTEUR DE «  PETANQUE, quand tu nous tiens ! », vous présente :
« OBJECTIVITE ET ILLUSION »

2°EPISODE (Commentez !!!)
 
Pour évoluer à ce jeu, il faut garder en mémoire les moments clés des parties. Il est aussi indispensable de se souvenir de la façon dont on a su les gérer. Comme vous l’aurez remarqué, il y a des joueurs qui échouent toujours  dans les mêmes situations :
  • Contre les mêmes adversaires
  • Quand on arrive dans le dernier tiers de la partie et que les boules commencent à peser plus lourd.
  • Quand il s’agit de tirer pour ne pas perdre
  • Quand il s’agit de couper les points de l’adversaire alors que l’on ne possède qu’une boule à jouer.
Je pourrai ainsi multiplier les exemples.
C’est là que la préparation mentale et le travail sur soi peuvent apporter des solutions, si on ne se cache pas la réalité des choses.
 
Peu de pratiquants sont en mesure d'effectuer ce travail sur eux. Or ces données sont essentielles, pour évaluer ses capacités et assurer sa progression. Il peut aussi être utile d'être à l'écoute des autres. On peut tirer avantages des analyses faites par certains compétiteurs. Il faudra laisser de coté les détracteurs et leurs critiques malfaisantes. Cette attitude très répandue à la pétanque est souvent suscité par l'envie et la jalousie entre joueurs. Ces réflexions, si on y prête trop attention, peuvent affecter durablement l'image de soi. Si ces remarques pointent du doigt des insuffisances dans notre jeu, on s'en nourrira pour travailler nos points faibles et on s'entrainera dur pour combler ces lacunes.
Il faut donc adopter une attitude positive.

L’une des difficultés majeures de notre activité est de ne pas avoir de retour sur le niveau de notre prestation en compétition. Seuls, ceux et celles qui ont la chance de pouvoir participer aux épreuves de sélection et autres stages de préparation aux échéances nationales et internationales pourront bénéficier de cette analyse.
 
Je ne connais pas le logiciel d'évaluation de la performance créé par la direction technique nationale, mais je vais vous donner mon point de vue. Je reste persuadé, bien que « matheux » de formation, que rien ne pourra remplacer l'observation et l'analyse humaine. Ceux qui créent ce genre d’application veulent surtout à mon sens, s’épargner le difficile travail d’analyse et de réflexion qu’exige l’évaluation des situations.
 
Je ferais ici le parallèle entre le robot lanceur de boules utilisé par Robert Bruno et présenté dans son livre: « Les secrets de la Pétanque et du jeu Provençal ». En utilisant ce robot tireur de boules, il a démontré que la coordination oculomotrice de l'être humain était supérieure à celle du robot quand il s'agissait de faire une correction de tir en cours de lancer. On ne pourra donc jamais se passer de la finesse d'analyse de personnes bien formées et c’est heureux ainsi. L’intelligence humaine est infinie.

La présence d’un tiers avec un regard neutre au bord des terrains peut apporter  beaucoup de renseignements sur la qualité de notre prestation.  Une critique objective doit en principe décliner les points positifs et les points négatifs de nos savoirs faire. Elle doit être constructive. Cette pratique n’est pas courante dans notre milieu. Dans l’univers « pétanquiste », les pratiquants sont plutôt enclins à une attitude destructrice.
 
Comme beaucoup, je n'ai pu échapper à ce travers au début de ma pratique. Je supportais mal les réflexions désagréables proférées à mon encontre qui ne soulignaient jamais mes points forts. Alors parfois j’ai pu « avoir la dent dure » envers certains joueurs. Mais, il faut pouvoir reconnaitre ses propres errements pour avancer et se bonifier.

Afin de me forger un « mental de gagnant », j’ai gardé précieusement en mémoire mes plus belles réussites. Je vous engage à vous remémorer ces instants dans ces périodes de moindre forme et de doute que nous traversons tous.  C'est l'une des techniques de préparation mentale aux compétions sur laquelle nous reviendrons dans une prochaine publication.

Mes amitiés sportives à tous
Frédéric NACHIN

Rédigé par G le Mardi 24 Novembre 2015 à 21:37 | Commentaires (0)
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