Un anglais, un américain et un belge sont dans un bar à Paris . Ils discutent et s'amusent et sont d'accord que c'est un endroit très plaisant.
Alors l'anglais dit :
-C'est bien fun ici, mais à Londres, j'en connais un bien mieux qui s'appelle "Chez Andrew". Là, tu achètes ta bière, tu achètes ta deuxième bière, et Andrew te paye la troisième !
Mais l'américain rétorque :
-J'veux pas vous embêter, mais j'en connais un encore mieux ! Y'a un bar à New York qui s'appelle "Chez John". Là tu achètes ta première bière, et John te paye la deuxième. Tu achètes la troisième et John te paye la quatrième ...
Alors le belge renchérit :
-Vous pensez que c'est un endroit tripant ? Ecoutez bien ça. Chez nous, il y a un bar qui s'appelle "Chez Jeff Vanderbrul . Vous ne me croirez pas, mais Chez Jeff, tu te fais payer ta première, ta deuxième, ta troisième, ta quatrième bière, et là, tu peux aller dans une chambre au deuxième étage... et tu baises !
-Incroyable ! disent les deux autres. Est-ce que ça t'es réellement arrivé à toi ?
-Non, répond le belge. Mais c'est arrivé à ma soeur.
Alors l'anglais dit :
-C'est bien fun ici, mais à Londres, j'en connais un bien mieux qui s'appelle "Chez Andrew". Là, tu achètes ta bière, tu achètes ta deuxième bière, et Andrew te paye la troisième !
Mais l'américain rétorque :
-J'veux pas vous embêter, mais j'en connais un encore mieux ! Y'a un bar à New York qui s'appelle "Chez John". Là tu achètes ta première bière, et John te paye la deuxième. Tu achètes la troisième et John te paye la quatrième ...
Alors le belge renchérit :
-Vous pensez que c'est un endroit tripant ? Ecoutez bien ça. Chez nous, il y a un bar qui s'appelle "Chez Jeff Vanderbrul . Vous ne me croirez pas, mais Chez Jeff, tu te fais payer ta première, ta deuxième, ta troisième, ta quatrième bière, et là, tu peux aller dans une chambre au deuxième étage... et tu baises !
-Incroyable ! disent les deux autres. Est-ce que ça t'es réellement arrivé à toi ?
-Non, répond le belge. Mais c'est arrivé à ma soeur.
Rédigé par Gilbert BADOC le Mardi 7 Avril 2020 à 10:58
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Après une longue et fatigante journée au travail, une jeune femme de cale dans son siège et ferme les yeux pendant que le train part. Dés que le train sort de la gare, l'homme assis en face d'elle sort son portable et commence à parler fort :
-Salut, mon coeur, c'est Roland. Je suis dans le train...
-Oui, chérie, celui de 18 h 30 et pas celui de 16 h 30, parce que j'ai eu une longue réunion.
-Non , Chérie, pas avec le nul de la compta, mais avec le patron.
-Non, mon coeur, tu es la seule femme de ma vie.
-Oui, j'en suis sûr, promis-juré, etc, etc... et patati et patata... Et je te raconte ma vie et celles de mes collègues, et tout, et tout, et tout...
Un quart d'heure plus tard, le gars continue à parler haut et fort, lorsque la jeune femme assise en face, visiblement exaspérée par ce bavardage continu et bruyant se met à hurler :
-Ho ! Roland, éteins ce putain de téléphone et reviens au lit !
Depuis, Roland n'utilise plus son téléphone portable dans un lieu public !
-Salut, mon coeur, c'est Roland. Je suis dans le train...
-Oui, chérie, celui de 18 h 30 et pas celui de 16 h 30, parce que j'ai eu une longue réunion.
-Non , Chérie, pas avec le nul de la compta, mais avec le patron.
-Non, mon coeur, tu es la seule femme de ma vie.
-Oui, j'en suis sûr, promis-juré, etc, etc... et patati et patata... Et je te raconte ma vie et celles de mes collègues, et tout, et tout, et tout...
Un quart d'heure plus tard, le gars continue à parler haut et fort, lorsque la jeune femme assise en face, visiblement exaspérée par ce bavardage continu et bruyant se met à hurler :
-Ho ! Roland, éteins ce putain de téléphone et reviens au lit !
Depuis, Roland n'utilise plus son téléphone portable dans un lieu public !
Puisque nous voila confinés, nous les vétérans, parce que fragiles donc précieux, évadons-nous avec une petite histoire, bien réelle ?...
Trois petites vieilles se promènent dans un bois qui sent le sexe. Par terre, il y a un gros tas de capotes usagées. La première se plaint alors :
-Regardez-moi ça, ces petits salopards ne respectent plus rien !
La deuxième prend une capote avec sa canne. Elle la brandit en l'air :
-Ils font ça n'importe comment. De mon temps, on n'avait pas besoin de ces machins-là !
La troisième prend la capote piquée sur la canne de sa copine. Elle en gobe le contenu en disant :
-Et en plus, ils laissent le meilleur ...
Trois petites vieilles se promènent dans un bois qui sent le sexe. Par terre, il y a un gros tas de capotes usagées. La première se plaint alors :
-Regardez-moi ça, ces petits salopards ne respectent plus rien !
La deuxième prend une capote avec sa canne. Elle la brandit en l'air :
-Ils font ça n'importe comment. De mon temps, on n'avait pas besoin de ces machins-là !
La troisième prend la capote piquée sur la canne de sa copine. Elle en gobe le contenu en disant :
-Et en plus, ils laissent le meilleur ...
