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" LA CARICATURE DU MAUVAIS JOUEUR "
UNE PIQURE DE RAPPEL :
« LA CARICATURE DU MAUVAIS JOUEUR »

Ils abondent sur les jeux, voilà ci-dessous ce qui le caractérise:
- Il a toujours raison !
- C'est la mauvaise foi incarnée !
- Il ne voit que ce qu'il réussit et oublie ses « cagades » !
- Il ne garde en mémoire que les échecs de ses partenaires !

- Il ne fait jamais allusion aux parties qu’ils lui auront fait gagner ! 
- Il est souvent arrogant, vantard, s'imagine être un « super », un « cador » !
- Il ne fait preuve d’aucune objectivité sur le niveau de sa prestation !
- Il est volontiers du coté des adversaires pour critiquer ses coéquipiers !
 -S'il est en forme, il écrasera ses partenaires en les mettant plus bas  que terre !

S’il est « à coté de la plaque », il trouvera toujours une bonne excuse pour expliquer ses échecs !
- Tantôt, il aura mal dormi !
- Tantôt, il aura mal au dos !
- Tantôt il accusera un moucheron de l'avoir fait manquer sa boule!!

- Tantôt il aura le soleil dans l'œil !
- Tantôt l’un des adversaires aura bougé !

Tous les prétextes seront bons pour justifier ses échecs !
S'il manque au tir, c'est parce qu’on n’aura pas conduit le jeu comme bon lui semble, ou que la boule lui aura échappé, ou qu'un caillou l'aura dévié de sa trajectoire.
Lui qui est « toujours droit comme un I » !

S'il manque au point, c'est parce qu'il est mal tombé ou que le mauvais sort s’acharne sur lui !
La plupart du temps s'il échoue, c’est la faute à pas de chance.
Mais quand vous perdez une boule, c’est que vous êtes bien maladroit ou que vous avez besoin d'une couche culotte.


Le concours terminé, il refait les parties à son avantage !
Il donne sans cesse l'impression qu'aucun de ses partenaires n'est suffisamment fort pour jouer avec lui !
Il se plaint toujours de ne pas avoir de réussite!!
A l’occasion d’une défaite mal digérée, il n’hésitera pas à faire le tour du terrain pour raconter sa mésaventure et dressera de vous, n'en doutez pas, un portrait peu flatteur !

 
On a tous en tête le nom de ces joueurs, qui même le temps passant reste fidèle à leur attitude.
Evitez de vous embarquer en concours avec de tel olibrius.
Quand vous avez l'un de ces énergumènes dans votre équipe, je puis vous assurer que le journée va être plaisante.
Or l’agrément de jeu en équipe est l’un des secrets de la réussite !
Attention, ne riez pas !
On a tous pêché dans ce sens en tolérant parfois mal la défaite !
Mais pour égaler ce personnage, il faut y mettre de la bonne volonté.
Dans tous les cas, l'attitude incarnée par ce pratiquant a pour mérite de nous indiquer la voie à ne pas prendre.
Régalez-vous de ce portrait, et retrouvez-moi dans le livre :
« PETANQUE, quand tu nous tiens ! », que vous trouverez sur : http://www.blogpetanque.com/passiondujeu/
MES AMITIES SPORTIVES.
FREDERIC NACHIN
  
 

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Commentaires (0) | Rédigé par Frederic Nachin le Lundi 2 Mai 2016 à 17:15
Un pointeur émérite
Un pointeur émérite
LE COUP DE MAIN
 
Nous allons aujourd'hui évoquer ensemble ce que l'on nomme: « Le coup de main »
De manière paradoxale, lorsque l'on dit de quelqu’un qu'il a un bon « coup de main », c'est souvent pour traduire une habileté particulière ou pour insister sur la qualité de sa technique pour une tache donnée.

A la pétanque, il n'en est rien. Les joueurs qui possèdent un coup de main prononcé, qu’ils ont quelquefois acquis au fil du temps, sont souvent taxés de « maladroits ». Les joueurs méditerranéens ne cessent de moquer ces pratiquants et les réflexions fusent.

- Arrête de jouer tes boules avec le coude !!
- T’as un tournevis dans la main !!
- Je vais te payer un étau pour te remettre tout ça en place !!
- Ta mère t’a fait tout tordu !!

Ils n’ont pas de pics assez durs.
 
On ne le répètera jamais assez, mais : " jouer droit et sous-main est la base d’un jeu solide et régulier ". Il est certain, qu'à de rares exceptions près, avoir un fort coup de main est un handicap sérieux pour progresser à la pétanque. D’où  l'importance primordiale de démarrer avec de bonnes bases. Dès le début de sa pratique, il faut apprendre à  lancer les boules « sous main », en ouvrant simultanément les doigts dans un plan horizontal. La boule s'échappera alors par le bout des doigts, sans contrainte. Il faudra veiller à ne pas acquérir ce défaut en s’exerçant aux autres formes de lancer, que sont:
- La demi-portée
- La portée
En effet, l’expérience montre qu’un certain nombre de joueurs ayant démarré correctement, acquièrent à leur insu ce fameux « coup de patte », en travaillant d'autres techniques de lancers. Et là le formateur, quand il existe, doit veiller au grain et reprendre tout de suite le débutant.

Il peut être utile de comprendre comment peut apparaitre, ce « coup de main ».
Il résulte souvent d'un manque d'impulsion au moment du lancer et (ou) d'une trop grande crispation des doigts sur la boule qui gêne alors sa libération. On peut noter que certains joueurs qui ont réussi à corriger ce défaut le retrouve au fil des parties, quand la fatigue s'installe ou quand la pression s'accentue.

La difficulté dans la correction du coup de main est que si on l’a utilisé trop longtemps, il devient quasiment impossible de s'en séparer tant le schéma moteur est inscrit dans  notre cerveau.
D’où l'importance fondamentale de le corriger dés le début des apprentissages.


Suite à la question posée par l’un des mes lecteurs habitant en Australie, j'ai décidé dans un proche avenir, de vous fournir quelques pistes pour corriger ce défaut.
Il convient de préciser que nous possédons tous un léger coup de main.  Le joueur droitier aura tendance à jouer légèrement ses boules de droite à gauche, on parlera alors de, « coup de main naturel ».
 Le joueur gaucher fera exactement l’opposé. Dans ce cas, il n'y a pas de gêne particulière et il faudra seulement veiller à ce que cela ne s'accentue pas.

Parlons maintenant de ces « fameux coups de patte », très prononcés qui limitent les possibilités de jeu.
Je prendrai ici l'exemple d'un copain qui est droitier et qui joue ses boules comme un gaucher, c'est à dire de gauche à droite. C'est pour lui un handicap important. En effet lorsque l’adversaire a relevé son défaut, il  lui suffit pour le gêner, de placer sa boule devant le but légèrement sur la gauche à environ 60 cm de celui-ci.
Mon camarade parvient en général à éviter la boule de l’adversaire lors de son premier jet, mais neuf fois sur dix, lors de son second jet, sa boule tourne plus court et vient percuter celle de l'adversaire.
Le plus gênant, lorsque l'on possède ce défaut, c’est lorsque l'on doit rajouter un point en fin de mène.  Si la route est bloquée sur son coté de jeu habituel, le joueur se trouve en grande difficulté.

Il risque de percuter une boule et de donner le point à l'adversaire, ou il resserrera le jeu de telle façon qu'il rendra le rajoute de points délicate pour ses partenaires.
Nous verrons dans une prochaine publication comment lutter contre ce coup de main. Mais certains n'arriveront jamais à en s'en séparer, limitant ainsi leur progression.


RETROUVEZ LA PATTE ET LA GOUAILLE DE L’AUTEUR DANS SON LIVRE:
« PETANQUE, quand tu nous tiens ! »

Mes amitiés sportives.
Frédéric NACHIN

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Commentaires (0) | Rédigé par Frederic Nachin le Samedi 30 Avril 2016 à 08:43
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