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LACTUCITOYENNE.FR
Lydia Guirous était l'invitée de l'émission «La Matinale» diffusée le 07/08/21 sur CNews.
«Ce dernier justifiera alors sans sourciller la prolongation de cette disposition»
Lydia Guirous: «Cette semaine, on a assisté à plusieurs débats sur la pertinence du passe sanitaire. Ces entraves aux libertés fondamentales et les doutes légitimes qu'il peut susciter pour la société que nous construisons pour nos enfants. Alors, bien sûr, à ce stade, il est temporaire jusqu'au 15 novembre a priori. Clap de fin, donc, prévu à ce moment là. Mais s'il y a une chose que nous devons retenir de cette crise sanitaire, c'est que les projections ont toujours été fausses et toujours démenties par la vie et par le virus lui-même. Alors, qui sait si ce clap de fin du 15 novembre sera effectif ou s'il sera prolongé à cause d'un autre variant, d'un tsunami sanitaire, comme dit le ministre Olivier Véran, toujours en pointe pour souffler sur les braises de la peur. Ce dernier justifiera alors sans sourciller la prolongation de cette disposition que je continue de penser comme liberticide, peut-être jusqu'en mai 2022, par exemple. Et n'oublions pas d'ailleurs que le président de la République, Emmanuel Macron lui-même, était réservé sur la mise en place d'un passe sanitaire. Je le cite : " Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d'accès qui différencie les Français.»
«Nous saurons donc dans un nouveau monde aux contours étranges, obéissant... Apparemment accepté dans un étrange processus d'auto asservissement»
Lydia Guirous: «Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours, comme les restaurants, les théâtres, les cinémas ou pour aller chez des amis. " C'était le 29 avril 2021. Rappelons aussi quand même que nous sommes dans un pays où le ministre de la Santé a eu l'idée d'isoler de force des personnes Covid positives et d'organiser des contrôles de police à leur domicile, et ce, jusqu'à minuit, et même d'interdire l'accès à l'hôpital pour des malades non urgents, sans passe sanitaire. Mais où sommes-nous? La Chine est elle devenue un modèle pour nos libertés ? Alors, dès le 9 août, lundi, nous saurons donc dans un nouveau monde aux contours étranges, obéissant à une philosophie du surveiller et punir, apparemment accepté dans un étrange processus d'auto asservissement. Nous voilà donc dans une nouvelle France avec des citoyens contrôleurs sanitaires malgré eux, une société à deux vitesses pleine d'incohérences. Passe sanitaire pour le TGV mais pas dans les RER bondés. Passe sanitaire dans les restaurants en villes mais pas dans les restaurants de routiers. Et les exemples sont légion. Une France où il faut un passe sanitaire pour accéder à l'hôpital pour les actes programmés.»
«On discrimine à l'école des enfants dès 12 ans»
Lydia Guirous: «Et cela, en dépit des réserves émises par les médecins eux-mêmes, dont Karine Lacombe, infectiologue et membre du conseil scientifique, pour qui, je cite : "Le passe pose de vrais problèmes. L'accès aux soins doit-être égalitaire pour tous. " Des problèmes également soulevés par l'Ordre des médecins et l'ONG Médecins sans frontières. Alors la France, héritière de Descartes et de Voltaire, devient donc un pays où il est interdit de penser, de remettre en question, sous peine d'être caricaturé ou amalgamé. Une société où l'opposition, notamment la droite, si prompte à parler de la liberté lorsqu'il s'agit d'économie et subitement absente, volatilisée. Une société où le chantage au nombre de victimes de la Covid vous est opposé pour tenter de vous marquer du sceau de l'inhumanité. Une société qui a toujours bataillé pour l'égalité mais ne voit plus de problème à créer des inégalités entre les citoyens pour des raisons sanitaires. Une société qui prônait que l'autre est une chance et qui, aujourd'hui, voit l'autre comme un contaminateur potentiel. Une société qui a toujours lutté contre les discriminations mais ne voit pas de problème à ce que l'on discrimine à l'école des enfants dès 12 ans parce qu'ils ne sont pas vaccinés.»
«Cette génération d'hédonistes qui nous laissent une France à genoux»
Lydia Guirous: «La France est une très belle démocratie mais la pensée française, aujourd'hui, est dominée, malheureusement, par ceux qui scandaient pourtant en 68 qu'il est interdit d'interdire et qui ont tristement évolué. Aujourd'hui, un demi siècle plus tard, les mêmes n'hésitent pas à profiter de l'état de sidération collective pour appeler à toujours plus de restrictions. Au nom du principe de valeur constitutionnelle, de protection de la santé, afin de neutraliser ceux, pourtant beaucoup plus structurants, relatifs aux libertés fondamentales. OK boomers. Merci donc à cette génération d'hédonistes qui nous laissent une France à genoux et qui, sans douter, poursuit son oeuvre de dévoiement de la liberté pour mieux nous imposer une hypothétique sécurité sanitaire par un chantage à l'enfermement. Une génération qui déclamait : " Sous les pavés, la plage ! " et qui nous construit une France où- sur la plage, il y a la peur. La peur de l'autre, la peur de demain, cette peur qui est le pire ennemi de la liberté et du vivre ensemble.»










Jeu Provençal

Composition des équipes
CHAUVIGNY (86)
Capitaine : Stéphane COUTURAS
Equipe : Enzo BEKKER, Jérémy BONNEAU, Stéphane COUTURAS, Frédéric DUQUERROUX, Philippe GREGOIRE, Sandrine ISTE et Marjorie MERCIER.
PARTHENAY (79)
Capitaine : Maïté LABORDE
Equipe : Christophe BOUFFANDEAU, Jean Luc CHAUSSONEAUX, Maïté LABORDE, Patrick LABORDE, Charles LESEVE, Alban RENAUD, Anthony RENAUD et Francky THIBAUD.
Doublette (4 pts)
Antho R. et Alban R. (Parthenay) - Jérémy B. et Stéphane C. (Chauvigny) : 11 à 4
Francky T. et Toto B. (Parthenay) - Philippe G. et Sandrine I. (Chauvigny) : 11 à 7
Deux victoires pour Parthenay...
Jean Luc C. et Charly L. (Parthenay) - Enzo B. et Frédéric D. (Chauvigny) : 7 à 11
Une victoire pour Chauvigny.
PARTHENAY (79) - CHAUVIGNY (86) : 8 à 4
Triplette (6 pts)
Antho R., Charly L. et Alban R. (Parthenay) - Frédéric D., Enzo B. et Marjorie M. (Chauvigny) : 1 à 11
Victoire logique des joueurs de Chauvigny supérieurs à l'appoint. Dommage que les Parthenaisiens n'ont pas pensé à un remplacement possible...
Toto B., Francky T. et Jean Luc C. (Parthenay) - Stéphane C., Philippe G. et Jérémy B. (Chauvigny) : 11 à 5
Lors de ce dernier match, les Parthenaisiens assuraient un peu plus et l'emportaient fort logiquement.
PARTHENAY (79) - CHAUVIGNY (86) : 14 à 10


CRC Jeu Provençal
Composition des équipes
PARTHENAY (79)
Capitaine : Maïté LABORDE
Equipe : Christophe BOUFFANDEAU, Jean Luc CHAUSSONEAUX, Maïté LABORDE, Patrick LABORDE, Alban RENAUD, Anthony RENAUD et Francky THIBAUD.
CHÂTELAILLON (86)
Capitaine : Guy ANNON
Equipe : Guy ANNON, Ludovic AUDEBERT, Kilyan JAULARD, David MARLINGEAS, Hervé MASSONNEAU, Laurent OBRANOVITCH, Nicolas PAUTROT et Jean Pierre ROY.
Doublette (4 pts)
Francky T. et Alban R. 'Parthenay) - Jean Pierre R. et Kilyan J. (Châtelaillon) : 1 à 11
Toto B. et Anthony R. (Parthenay) - David M. (puis Nicolas P. à 0 à 6) et Guy A. (Châtelaillon) : 11 à 0
Ces deux premières rencontres, rapides dans le temps, mettaient dos-à-dos les deux clubs.
Patrick L. et Jean Luc C. (Parthenay) - Hervé M. et Ludovic A. (Châtelaillon) : 9 à 11 (a.p.)
Dans cette partie plus accrochée que les précédentes, les Parthenaisiens prenaient un avantage en menant 7 à 2. Les Maritimes échangeaient leurs postes et cela se traduisit par un retour au score : 9 à 8 à la fin du temps règlementaire. Une mène supplémentaire suffira aux jours de Châtelaillon pour l'emporter et donner l'avantage à leur club.
PARTHENAY (79) - CHÂTELAILLON (17) : 4 à 8
Triplette (6 pts)
Francky T., Alban R. et Anthony R. (Parthenay) - Kilyan J, Jean Pierre R. et Nicolas P. (Châtelaillon) : 11 à 5
Avec cette belle victoire, les Parthenaisiens prenaient les devants au score final : 10 à 8.
Restait encore le dernier match.
Toto B., Jean Luc C. et Patrick L. (puis Maïté L. à 3-4) (Parthenay) - Ludovic A., Hervé M. et Laurent O. (Châtelaillon) : 9 à 10 (a.p.)
Après le remplacement, les deux équipes prenaient la tête à tour de rôle pour arriver au score de 7-8 à la fin du temps règlementaire.
Lors de la 1ère mène, Châtelaillon marquait deux points supplémentaires pour mener 10 à 7. Le plus difficile restait à réaliser pour les Parthenaisiens. Dernière mène, 19m59 : Toto faisait tomber les six boules adverses avec ses deux boules... Maïté, un peu court puis un peu long, ne pouvait ajouter de point. Jean Luc devait faire le plein pour arracher le nul et donner la victoire finale à son club. Sa première boule fut un peu courte mais dans le jeu. Il lui suffisait de la toucher pour rentrer à trois... Hélas, sa boule frôla son autre boule et Parthenay ne marqua que deux points !
Une défaite au goût amer pour les Parthenaisiens...
PARTHENAY (79) - CHÂTELAILLON (17) : 10 à 14


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